Il y a quelques jours, un témoignage posté il y a deux ans sur facebook a de nouveau défrayé la chronique de mon fil d’actualité. Il s’agissait de la narration d’un épisode de la vie d’un policier qui, débordé d’émotions à la vue d’un visage un peu trop souriant, n’a plus réussi à tenir en bride ses pulsions. Résultat : une pluie de coups sur fond de fête des lumières.
Cette mésaventure, enrichie de ma pratique du parkour, m’a inspiré quelques réflexions sur ma place dans la société.
L’obstacle, un appui
L’obstacle est l’appui sur lequel repose notre pratique ; le parkour naît au premier obstacle et expire au dernier.
Le hors-obstacle n’existe pas en parkour. C’est dans l’entre-deux obstacles que nous vivons le parkour.
Chaque obstacle a son voisin, chaque obstacle est unique et fait partie du patrimoine architectural du parkour.